Samson et tes cheveux et tes deux mains fantasques
Y puisais-tu ta force et cueillais ton courage
Vois-tu dans les jeux clairs Madhousvâra enrage
Tu brises le silence en deux mains une frasque
Ravel et Debussy et les nuits de Chopin
Ton tabouret en l'air tu les faisais s'asseoir
Et certains accouraient pour croiser chaque soir
La comtesse Platen Frédéric sous les pins
Toi dans toute nocturne et dans toute mazurque
Tu rencontrais plutôt Boleslas le Vaillant
Copernic chevauchant l'univers tournoyant
Tu riais à la barbe étriquée du Grand Turc
Sous tes doigts chaque note était une caresse
Une colère un souffle un sot une princesse
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire