mercredi 13 novembre 2013

13°C


Qui aurait cru qu'un jour dans un refrain d'été
Dans l'atmosphère empli de la lux solaris
Dans la Terre remplie de l'homme et ses caprices
Nous aurions vu l'hiver d'une face hébétée

Prends garde à la saison lutte Septentrion
Change ta veste fine et troque le coton
Pour des rideaux de laine en postiche moutons
Dans l'absence morte des joies de carillons

L'ignorance urbaine les flammèches d'espoir
L'ivresse des matins claires beautés de soir
Le doute citadin et les âmes éparses

Sur tout hémisphère missives de comparses
Laissaient un point d'espace aux restes de l'été
Mais par treize degrés primevère arrêté



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