" Salut à vous, ô beau ciel! ô patrie !
Salut, forêts! Salut, verte prairie !
Fidèle au vœu de pèlerin,
Je puis quitter le bâton du chemin ! "
Joyeuse et sublime du Chant des Pèlerins
Il y a plus de grandiose dans un de ses refrains
Que dans quelqu'autre hymne dit sur quelque défunte
Alors que Tannhäuser souffrit qu'au Vatican
Le souverain pontife ait tué son salut
Sans aucune pitié quand il aurait fallu
Accorder son pardon au vivant pratiquant
Alors que Tannhäuser souffrit vous répétè-je
Du successeur de Pierre ainsi nous écoutions
Le prodige accourir en grande orchestration
La plus grande ironie ainsi que l'entendai-je
Est qu'au soir résonna dedans Saint-Pierre-aux-Liens
Le cri contre Pierre du génie wagnérien
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