mardi 26 novembre 2013
Marauds napolitains
Et alors on se rêve en pêcheur de la voûte
Prenant entre ses rets tant de poissons volants
Qu'à l'hiver on croirait à un vol de milans
Rêvant de sa parure en un sud envoûté
Bercé par la comptine entendue plus en bas
Aux paroles versées sur le charbon les rails
Bercé des mélopées du cœur dans le poitrail
On s'avance joyeux des rêves au cabas
Dans la nuit sans recours qui finit au matin
On garde le mystère ainsi que la fortune
En gardant la cité dans le calme satin
En priant le silence aux heures importunes
Or voyez-vous on trouve après le Palatin
Des mains maraudeuses aux heures opportunes
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